Senin, 10 Februari 2014

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uffage[modifier | modifier le code]
La thermorégulation assistée : les nouvelles technologies depuis les années 1980 ont permis la mise en place de climatisation et de chauffage facilitant la stabilisation de la température corporelle. Le corps ne lutte pas contre les variations de températures ce qui n'occasionne pas de dépenses énergétiques importantes au niveau du tissu adipeux brun, affaiblit le système de thermorégulation et modifie le taux métabolique de base76.
Perturbations du sommeil[modifier | modifier le code]
Les dérèglements du sommeil causent plusieurs modifications neuroendocriniennes obésogènes causant la surconsommation des aliments, mais aussi d'autres modifications plus subtiles de la gestion métabolique de l'énergie62 ; une durée inférieure à 6 heures de sommeil est reconnue comme étant à risque de prise de poids77, ceci étant dû à un taux de leptine plus faible que celui que prédit le pourcentage de graisse corporelle chez les patients de l'étude78. Il est prouvé que la réduction du temps de sommeil diminue les bénéfices d'un régime79 amaigrissant. Une étude australienne confirme ce rôle du manque de sommeil chez l'enfant : chaque heure de sommeil en moins entre 3 et 5 ans se traduit par 0,7 kg en plus à l'âge de 7 ans par rapport à la moyenne du poids d'une population de référence du même âge80.
in utero[modifier | modifier le code]
Selon deux études respectivement publiées en 201081 et 2011, la seconde étant basée sur 101 enfants, un surpoids de la mère affecte déjà le métabolisme du fœtus et de l'embryon, en annonçant déjà des troubles du métabolisme pour l'enfant et le futur adulte (toute la vie), ce qui fait dire à certains chercheurs de l’Imperial College de Londres que la prévention devrait commencer in utero. Un IMC élevé de la maman avant la grossesse prédispose statistiquement à des bébés plus gros, et dont le foie est plus riche en graisse, ainsi qu'à un risque augmenté de troubles du métabolisme82, reste à faire la part des causes génétiques et seulement liées à l'obésité de la mère et à comprendre les liens de causes à effets.
Facteurs environnementaux, dits « obésogènes »[modifier | modifier le code]
Si l'augmentation de la prévalence de l'obésité s'observe chez d'autres espèces animales que l'humain, il y a tout lieu d'examiner les causes environnementales du phénomène. Une étude de 2011 sur plus de 20 000 animaux appartenant à 12 espèces (singes, grands primates, chats, chiens, marmottes, rats, souris, notamment) vivant dans des environnements divers a démontré une augmentation hautement significative de la prévalence de l'obésité. Les perturbateurs endocriniens ou métaboliques (voir ci-dessous), ainsi que certaines infections vira

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